Notre monde marche à l'envers. L'être humain n'est plus au centre, c'est la finance ! Il est tout à fait possible d'inverser la tendance. Une alternative est nécessaire, et elle est possible. Reste à convaincre pour lutter contre le désespoir et la résignation. Faire partager des solutions. Tous ensemble faisons bouger les choses...
mercredi 29 octobre 2014
mardi 28 octobre 2014
mercredi 22 octobre 2014
Le gouvernement Valls poursuit la grande braderie des biens publics.
Remplir les caisses sans toucher aux cadeaux au grand
patronat : tel est le pari imposé à la France par le gouvernement.
Un véritable scénario de jeu de Monopoly qui passe par la
case "libéralisation" au cours duquel le pouvoir brade aux financiers
tout ou partie des biens qui nous appartiennent et qui ont été payés par les
contribuables, par nous.
Après France Telecom/Orange, EADS, Aéroports de Paris,
Safran, Renault, Thalès, le Rail, Airbus, GDF ce seront les barrages
hydroélectriques, Rungis, La Française des jeux (très rentable), etc…
C'est l'inverse qu'il faut faire, renationaliser les
autoroutes, tout le secteur de l'énergie. Il faut stopper cette fuite en avant
suicidaire.
Qui dirige cette Europe ?
La nouvelle Commission européenne reste dans la ligne de la précédente, c'est-à-dire au service exclusif du monde de la finance. Quelques exemples ;
- Le président de la Commission, Jean-Claude Juncker, est l'ancien premier ministre du paradis fiscal luxembourgeois.
- L'espagnol Miguel Arias Cañete, un pétrolier…. Bientôt chargé du climat et de l'énergie.
- Jonathan Hill, un lobbyiste de la City, nommé à la "stabilité financière".
- Le hongrois Tibor Navracsis, ancien ministre de l'autoritaire et liberticide Victor Orban, est pressenti pour être commissaire à la culture !
Et ce sont eux qui auront à décider pour nous, y compris des orientations de la France. Pas réjouissant !
Mais les nominations des commissaires européens se font avec l'aval des dirigeants des Etats, donc notre gouvernement n'a pas à se dédouaner derrière cette commission antidémocratique et caricaturale.
mardi 14 octobre 2014
Evo Morales, son socialisme reconnu efficace
Pour la troisième fois, la Bolivie choisit Evo Morales dès
le premier tour.
La majorité des six millions d'électeurs se sont montrés
reconnaissants envers cet ancien berger de lamas qui a su amener la Bolivie à
une stabilité politique et économique sans précédent.
« Aujourd'hui nous sommes
dignes. Plus jamais nous ne serons mendiants, ni humiliés », aime-t-il à
répéter après neuf ans à la tête de ce pays. Le dirigeant de gauche a dédié cette victoire électorale à
ceux qui « luttent contre l'impérialisme », notamment « à Fidel Castro et à
Hugo Chavez ».« Merci pour ce nouveau triomphe du peuple bolivien », a-t-il
lancé depuis le balcon du palais présidentiel.Les jeunes ont participé à la victoire à l’élection
présidentielle de dimanche d’Evo Morales, qui signe le succès des
bouleversements sociaux à l’oeuvre.C’est un profond sentiment de libération de nos peuples hier
encore soumis à l’impérialisme et au capitalisme. C’est le triomphe de
l’anticapitalisme et de l’anti-impérialisme », a déclaré le chef de l’État.La campagne avait opposé deux projets de société. « Les
privatisations », d’un côté, défendues par l’arrière-garde de droite, et « les
nationalisations des hydrocarbures », entreprises sous les précédents mandats
du président et qui ont constitué le levier de financement des politiques
sociales, réduisant ainsi l’extrême pauvreté (38 %, contre 18 %). « Ce sont les
nationalisations qui ont gagné », s’est réjoui Evo Morales. De ce fait, depuis
son accession au pouvoir, en 2006, le MAS « a enregistré sept triomphes
électoraux, dont quatre à plus de 60 % », a-t-il rappelé. Avec son exécutif,
ils auront les coudées franches pour accélérer les transformations nécessaires
afin d’extirper la Bolivie de son rang de pays appauvri. Et ce d’autant plus
que la fronde droitière, voire raciste, de l’est du pays, impulsée par
l’oligarchie latifundiste, à l’origine de référendums sécessionnistes il y a
quelques années, s’est finalement rangée derrière « la révolution démocratique
et culturelle ».
Inscription à :
Articles (Atom)